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La conscience morale n’est-elle que le résultat de l’éducation ?
La détermination du bien n’est-elle qu’une affaire d’opinion ?
Peut-on connaître la morale ?
Est-il immoral de mépriser autrui ?
Suffit-il de voir le meilleur pour le suivre ?
Puis-je savoir si je suis immoral ?
Qui est autorisé à me dire tu dois ?
Devons-nous mémoire ou oubli ?
Qu’est-ce qu’avoir des valeurs ?
KANT, Réflexions sur l'éducation
Leibniz, Nouveaux essais sur l'entendement humain, livre II, chap. XXI, par 31
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Le problème de ce sujet tient à l’ambiguïté de la définition de la conscience qui apparaît initialement comme une faculté d’être conscient de ses actes mais offre un deuxième sens, qui consiste à dire qu’en réalisant ce que l’on fait, on réalise en même temps les conséquences de ses actes d’un point de vue moral. Chercher à savoir si la conscience morale est le résultat d’une éducation consiste donc à savoir si la conscience, comme faculté de réaliser ce que l’on fait, est par nature morale, c’est-à-dire véhicule par elle-même les valeurs du bien et du mal. Les constats qui accompagnent la conscience sont-ils en eux-mêmes moraux, les jugements de faits de la conscience sont-ils également des jugements de valeur ? Ne peut-on dire, à l’inverse, que la conscience est le fruit d’un apprentissage progressif qui ne dépend que de ce que vit l’homme dans son action (il faudrait éduquer la conscience qui n’est, par elle-même, qu’une faculté de constat neutre).... [voir le corrigé complet]